La fondation Clinton, source intarissable de polémiques et de défis éthiques
Pas une semaine ne passe sans que l’épineux sujet de la fondation Clinton ne soit désormais abordé par la presse américaine. Soupçons de conflits d’intérêts, manquements à l’éthique, petits arrangements entre amis… À quelques semaines du scrutin présidentiel, les Clinton vont-ils enfin prendre la mesure du problème ?
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
« Nous nous efforçons depuis quinze ans de donner à des gens les moyens d’améliorer leur futur, celui de leur famille et de leur communauté », lit-on en page d’accueil du site de la fondation Clinton. Du financement d’initiatives de lutte contre le changement climatique à la reconstruction de zones sinistrées telles qu’Haïti, en passant par la promotion de l’accès aux trithérapies dans les pays en développement, les buts de la fondation créée par Bill Clinton n’ont jamais été mis en cause. Ses méthodes de financement l’ont en revanche été à plusieurs reprises, et ce, quasiment depuis sa création, en 2001, par un ancien président souhaitant bâtir son héritage.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.