Budapest (Hongrie), correspondance.- Quatre-vingts artistes se sont rassemblés par une chaude fin d’après-midi, un dimanche d’octobre, sur le parvis du Parlement à Budapest. Beaucoup d’écrivains parmi eux, comme György Dragomán, qui a passé son enfance dans la Roumanie de Ceausescu, ou encore le génial János Lackfi, dont la satire Homo hungaricus est traduite dans des dizaines de langues.
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