Face à Laurent Delahousse, le 17 décembre dernier, Emmanuel Macron ne s’avance pas trop lorsqu’il prédit que « d’ici à mi- ou fin février, nous aurons gagné la guerre en Syrie ». La guerre contre l’État islamique, s’entend. Au-delà des défaites militaires de l’EI et de la perte de l’essentiel du territoire de son califat en 2017, le président de la République s’appuie sur des notes des services secrets qui, depuis plus d’un mois, lui annoncent « le basculement prochain [de l’organisation terroriste] dans la clandestinité ».
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