Syrie : les limites de la « diplomatie du séisme »

Bachar al-Assad veut profiter de l’effet d’aubaine que représente à ses yeux le tremblement de terre pour sortir de son statut de paria. S’il a marqué des points, le chemin pour quitter son isolement reste encore long et un rapprochement avec Riyad irréaliste.

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Peu après le tremblement de terre du 6 février, les Syriens ont pu découvrir sur leurs écrans de télévision Bachar al-Assad s’esclaffer alors qu’il visitait des champs de ruines dans la région d’Alep. Pas de larmes, évidemment, à la différence du président turc Recep Tayyip Erdoğan que l’on a vu pleurer. Et pas non plus de deuil national en mémoire des quelque six mille de ses concitoyens qui ont péri dans la catastrophe.  

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