Les voix étouffées de la société japonaise

Depuis les années 1960 et 1970, l’activisme de la société civile nippone se serait dissipé, voire éteint. De petits groupes sont pourtant toujours là, épars, nombreux mais confrontés à un pouvoir qui semble sourd à leurs revendications.

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Tokyo (Japon).– Le mariage pour toutes et tous « perturberait la société » car il changerait « le système dans lequel les Japonais sont profondément ancrés, leurs valeurs, leur vision de la famille ». Ces mots très durs du premier ministre japonais Fumio Kishida le 1er février dernier ont depuis entraîné une levée de boucliers des activistes LGBTQ, soutenue par une opinion publique à des années-lumière du conservatisme affiché de leur gouvernement.

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