Bogotá (Colombie), correspondance.– Jesus Emilio Carvajalino, alias Andrés Paris de son nom de guerre, semble sorti d’un autre siècle lorsqu’il déboule avec l’air bonhomme d’un tonton communiste, dans ce café d’un quartier branché de Bogotá. Comme tous les ex-commandants des Farc, il ne passe pas inaperçu lors de ses déplacements. Dehors l’attendent deux voitures blindées, portières ouvertes et gardes du corps aux aguets sous le ciel lourd de la capitale colombienne.
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