En revendiquant l’attaque meurtrière menée durant la nuit du réveillon, Daech confirme que les opérations militaires turques dans le nord de la Syrie touchent désormais ses intérêts vitaux et que, à moins d’un retrait des troupes d’Ankara, il poursuivra en sol turc une guerre asymétrique aux conséquences potentiellement dévastatrices pour la Turquie.
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IstanbulIstanbul (Turquie), de notre correspondant.– L’organisation djihadiste État islamique (EI, ou Daech) n’en est certes pas à sa première attaque en Turquie. Depuis juin 2015, pas moins de sept attentats majeurs lui ont été attribués, qui ont fait près de 260 victimes à Istanbul, à Ankara et aux abords de la frontière syrienne. Cette dernière opération – le meurtre dans une discothèque branchée d’Istanbul de 39 personnes, abattues au fusil d’assaut par un combattant apparemment expérimenté, originaire d’Asie centrale – possède cependant certains traits qui la distinguent de ses devancières.
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