Une petite phrase, prononcée par Benoît Hamon, et puis c’est tout. Mardi soir, lors du grand débat télévisé entre les candidats à la présidentielle, seul le socialiste a eu un mot à propos de l’attaque chimique qui avait frappé la population civile en Syrie quelques heures plus tôt. Pendant cette campagne, le consensus habituel entre les principaux partis de gouvernement sur la politique étrangère a volé en éclats, notamment à propos de Bachar al-Assad et de la Russie de Vladimir Poutine.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous