Le premier ministre italien l'avait souligné. Le sommet du G20 était « la dernière occasion » de construire une discussion – à défaut de compromis – sur la crise syrienne. La discussion à peine ouverte fut fermée. Ce fiasco politique fait maintenant place à une escalade vers une intervention militaire contre le régime syrien, dont tout laisse penser à ce stade qu'elle pourrait dégénérer en une vaste guerre régionale impliquant une partie de l'Occident.
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