Massacre de Bisesero au Rwanda : les raisons d’un non-lieu en faveur des militaires français
« Il ne ressort de manière crédible d’aucune des 16 379 pièces de l’information judiciaire une intention des militaires français de faciliter la commission de crimes sur les civils tutsis. » Dix-sept ans après le début de l'enquête, les deux derniers juges d’instruction chargés du dossier ont signé, le 1er septembre, une ordonnance de non-lieu en faveur des cinq militaires français mis en cause.
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CloseCloseune première fois en 2018, avant d’être rouverte au printemps dernier après la remise du rapport de la commission Duclert, l’enquête sur le massacre de Bisesero durant le génocide des Tutsis au Rwanda connaît, au terme d’un marathon judiciaire lancé il y a maintenant 17 ans, son premier épilogue. Les deux derniers juges d’instruction parisiens chargés du dossier, Michel Raffray et Stéphanie Tacheau, ont signé, le 1er septembre, un document judiciaire constatant une absence de charges existantes contre les militaires français mis en cause, a annoncé le parquet de Paris.
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