Séoul (Corée du Sud), de notre correspondant.– « Nous pourrions bientôt retrouver sur nos tables des poissons qui contiennent du césium, du strontium, du tritium et du plutonium radioactifs », s’alarme Suh Kune Yull. Ce professeur d’ingénierie nucléaire à l’Université nationale de Séoul estime qu’il est probable que le Japon voisin finisse par rejeter dans le Pacifique 1,15 milliard de litres d’eau contaminée récupérée dans la centrale dévastée de Fukushima. « Cela nous inquiète beaucoup. »
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous