A Rome, les gauches européennes cogitent sur l’«édifice branlant» de l’UE

Ce week-end se tenait à Rome le quatrième sommet du plan B. Cette initiative est devenue le cercle de réflexion des gauches alternatives européennes pour reconstruire l’Union européenne. Si des divergences persistent, les interlocuteurs sont unanimes sur l’urgence de se mobiliser en cette année électorale 2017.

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De notre envoyée spéciale à Rome (Italie).-  C’est à un difficile exercice de convergence que se sont prêtées plusieurs formations européennes de la gauche alternative ce week-end. Réunis à Rome dans une aile du palais de Campidoglio où a précisément été signé, il y a 60 ans, le traité fondateur de la Communauté économique européenne (CEE), ces partis membres ou proches du groupe parlementaire de la GUE (Gauche unitaire européenne) ont débattu pendant deux jours du « plan B » à mettre en œuvre sur le continent.

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