Enfin, la Commission européenne ose proposer une mesure d’envergure, quoique encore incomplète, pour lutter contre les multinationales qui s’organisent pour ne pas payer d’impôts sur leurs bénéfices. Et Bruxelles a même bougé plus loin que prévu, grâce à l’onde de choc du scandale planétaire des « Panama papers », où une centaine de médias du monde entier ont dévoilé comment un cabinet d’avocats panaméen servait à ouvrir des sociétés écrans partout.
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