Il s’agit « d’une perversion du système et cela ne doit pas se produire ». L’homme qui parle ainsi, en juin 2013, est Jérôme Valcke. Alors secrétaire général de la Fifa(1), il s’insurge contre les effets du programme Aspire lancé par le Qatar pour recruter des jeunes sur le continent africain. « Ils détectent des talents, les entraînent et les éduquent, ce qui est bien, mais ils s’assurent aussi que les meilleurs obtiennent la nationalité qatarie afin de construire une solide équipe nationale », suspecte-t-il.
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