« Pourquoi les Taïwanais n’ont-ils pas le droit d’écrire leur propre histoire ? »

Le conflit entre la République populaire de Chine et Taïwan est également une guerre culturelle. Face au Goliath chinois qui dispose d’énormes moyens financiers et impose censure et autocensure, des artistes taïwanais essaient de raconter leurs propres histoires. À l’image d’Isaac Wang, producteur de la première série politique taïwanaise consacrée à la démocratisation du pays. Rencontre.

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Taipei (Taïwan).– Si les Taïwanais n’ont guère de reconnaissance internationale – seulement 14 pays entretiennent encore des relations diplomatiques avec l’archipel, et la République de Chine a été exclue de l’Organisation des Nations unies (ONU) et autres instances internationales à partir de 1979 –, ils ont des idées. Et des envies de fiction.

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