Bruxelles (Belgique), envoyé spécial.- C’est le premier effet tangible de l’annonce du départ de l’Allemand Martin Schulz, à la tête de l’institution depuis 2012 : le parlement européen se trouve plongé dans l’incertitude, à l’approche de l’élection de son nouveau président, mardi 17 janvier à Strasbourg. Pour la première fois depuis de longues années, le résultat d’un vote clé est difficile à anticiper.
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