Ce n’est pas le virage centriste de Syriza, ni son échec à sortir la Grèce des rails de l’austérité qui aura soudainement affaibli Tsipras. Mais une histoire vieille de trente ans qui touche aux démons nationalistes grecs : le nom d’un État frontalier de la péninsule hellène, connu en Europe sous le nom de Macédoine, et dont l’appellation officielle est en passe de devenir la République de Macédoine du Nord.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous