Rui Pinto s’attendait au pire. Il n’a pas été déçu. Il est 14 h 22, vendredi 17 janvier, lorsque le jeune Portugais à l’origine des Football Leaks entre dans la salle d’audience du tribunal de Lisbonne. Il est menotté et encadré par sept gardes armés. Rui Pinto a le visage calme et apaisé.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous