Liban, un État failli

Les Libanais doutent d’un changement politique par les urnes

Le rejet de la classe politique n’a jamais été aussi fort au Liban qui, en l’absence de réaction des autorités, s’enfonce dans une grave crise économique et sociale. Ce mécontentement pourrait cependant avoir du mal à se traduire lors des prochaines législatives en mai.

Justine Babin et Nada Maucourant Atallah

Beyrouth (Liban).– Il s’agit à première vue d’une échéance électorale majeure pour le Liban. Pour la première fois depuis le début de la crise économique, les Libanais sont appelés aux urnes le 15 mai afin de renouveler les 128 députés les représentant au Parlement, avec l’opportunité d’exprimer leur mécontentement vis-à-vis de leur classe dirigeante.

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