Proche et Moyen-Orient Analyse

Offensive sur Gaza-ville : « Aucune langue au monde ne peut décrire ce que nous vivons »

Deux jours après l’entrée des chars israéliens dans la ville palestinienne, des centaines de milliers de personnes fuient. Mais beaucoup ne le peuvent pas, ou ne le veulent pas. Entre chaos et panique, les habitant·es tentent de survivre. Récits recueillis depuis l’enclave.

Gwenaelle Lenoir

Gaza-ville ne répond plus. Ses habitant·es sont coupé·es du monde, ou presque. Plus d’Internet, plus d’électricité, sauf à posséder un panneau solaire ou un générateur. Encore faut-il, pour le premier, qu’il ne soit pas détruit par les frappes israéliennes et les éclats de béton, de métal, de ciment, qui volent en tous sens à chaque bombardement, et pour le second que son propriétaire ait de quoi se procurer du carburant.

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