Europe

Espagne : le retour des affaires fragilise Pedro Sánchez

Le premier ministre espagnol s’est refusé à convoquer des élections anticipées que réclame Podemos, malgré le scandale de corruption qui vise l’un de ses plus fidèles au sein du Parti socialiste. L’un des derniers exécutifs de gauche en Europe vacille.

Ludovic Lamant

Pour la première fois en sept ans, Pedro Sánchez est touché. Et rien ne dit qu’il s’en relèvera. Le socialiste le plus influent d’Europe vient de perdre l’un de ses hommes de confiance, Santos Cerdán, numéro trois du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), impliqué dans un scandale de corruption aux dimensions encore difficiles à établir.

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