La signature d'un accord entre les parties belligérantes de la guerre au Yémen est certes fragile, mais l'affaiblissement de l'Arabie saoudite à la suite de l'affaire Khashoggi et la réaction des sénateurs américains ont ouvert une fenêtre d'espoir. La France, si elle le souhaitait, pourrait également s'impliquer dans la paix.
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Après plus de quatre années de conflit, un mince espoir a surgi ces dernières semaines d’une possible résolution de la guerre au Yémen. Si nul ne s’aventure à prédire une paix rapide, il paraît, pour la première fois depuis longtemps, envisageable d’alléger les souffrances des populations civiles dans ce que beaucoup, parmi les ONG et à l’ONU, ont baptisé « la pire crise humanitaire » du XXIe siècle.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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