Bruxelles (Belgique), envoyé spécial.- Cela fait des mois que Michel Barnier se préparait à ce moment : le premier jour des négociations censées aboutir au retrait du Royaume-Uni de l’UE, qui s’annoncent épiques. Mais le conservateur français de 66 ans, chargé de diriger les discussions pour le compte des Européens, ne s’attendait sans doute pas à pareille confusion, lundi à Bruxelles, presque un an jour pour jour après le référendum britannique sur le Brexit.
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