Amériques

Argentine: la mort mystérieuse d’un procureur ravive de vilains souvenirs

Alberto Nisman était en charge de l’enquête sur l’attentat contre la mutuelle juive AMIA en 1994. Après avoir accusé la présidente Kirchner de couvrir les responsables iraniens du crime, il a été retrouvé mort. Le gouvernement privilégie l’hypothèse du suicide, mais le rôle des services secrets reste trouble.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

De notre correspondante au Brésil-.  « Yo soy Nisman », « Je suis Nisman ». Dans les rues de Buenos Aires, ils sont des dizaines à avoir inscrit ces mots sur des pancartes et des drapeaux et à les brandir dans des manifestations, adaptant le slogan de l’attentat contre Charlie Hebdo à une tragédie locale. Mais ce que les Argentins exigent, c’est la vérité sur la mort d’un procureur, une de ces morts mystères dont le pays a malheureusement le secret.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal