Les spécialistes tablent sur un recul du PIB plus modéré outre-Rhin qu’en France, en raison des structures des économies et de la gestion de la crise pandémique. Le « modèle » allemand est tout de même contraint de se réinventer.
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L’Allemagne pourrait-elle sortir économiquement plus vaillante que la France de la crise du coronavirus ? C’est une hypothèse qui semble s’imposer, du moins à court terme. La dernière mouture du projet de loi de finances rectificative du gouvernement français prévoit ainsi un recul de 8 % du PIB français sur 2020. Une estimation encore optimiste, puisqu’un confinement de deux mois avec une reprise très partielle pourrait coûter entre 10 % et 15 % de PIB à la France, selon les calculs de l’économiste Éric Dor. De l’autre côté du Rhin, le ministère fédéral des finances ne publiera ses estimations officielles que le 29 avril, mais les instituts de conjoncture estiment que la chute du PIB allemand serait comprise entre 2,8 % et 5,4 %. L’estimation des cinq grands instituts de conjoncture allemands se situe à - 4,2 %, soit en deçà du choc de 2009.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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