Proche et Moyen-Orient Entretien

L’accord entre factions palestiniennes a toutes les chances « de rester de l’encre sur du papier »

Quatorze factions palestiniennes, dont le Hamas et le Fatah, ont signé à Pékin un accord pour former un gouvernement palestinien unifié. Mais pour le chercheur palestinien Ghassan Khatib, les divergences profondes entre les deux partis ont de quoi doucher les espoirs.

Zeina Kovacs

Mardi 23 juillet, le Hamas et le Fatah annonçaient avoir signé un accord à Pékin pour former un gouvernement d’unité nationale temporaire commun à la Cisjordanie et la bande de Gaza. Une première pour la Chine, qui s’est emparée de la question palestinienne par le biais de son ministre des affaires étrangères, cheville ouvrière des négociations. Pour les partis palestiniens, il s’agit d’une énième tentative : deux accords similaires ont déjà été négociés, il y a deux ans à Alger et en 2017 au Caire. 

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