La cybersécurité au cœur de la visite du président chinois aux Etats-Unis
Les deux superpuissances s'accusent mutuellement d'espionnage économique et militaire. La multiplication de ces cyberattaques s'explique par l'importance des moyens que les deux superpuissances mettent à la disposition de leurs agences de renseignement respectives.
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Xi Jinping effectue depuis mardi une longue visite d'État aux États-Unis, alors que les relations entre les deux superpuissances sont tendues, notamment à cause des questions liées à l'espionnage informatique et à la cyberguerre que se livrent les deux pays. Au cours des deux dernières années, les tensions n'ont cessé de croître entre la Chine et les États-Unis, les deux superpuissances qui s'accusent mutuellement d'espionnage militaire et économique. En 2014, le département de la justice américain a pour la première fois formellement accusé cinq officiers de l'armée chinoise d'espionnage industriel, affirmant qu'ils avaient volé des secrets commerciaux et des communications internes à cinq entreprises américaines pour donner un avantage économique à des entreprises d'État chinoises. Six autres ressortissants chinois ont été accusés de crimes analogues en mai dernier. En avril, l'Office of Personnel Management (OPM), la direction des ressources humaines du gouvernement fédéral, a annoncé avoir été attaquée par des hackers qui ont récupéré les informations personnelles de millions d'employés fédéraux.
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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