Dix mois après son arrivée au pouvoir, Matteo Renzi apparaît pour ce qu’il est: un phénomène d’hallucination collective. Sa nouvelle « narrazione » de l’Italie ne fait que reprendre les vieilles rengaines de Thatcher et Reagan. Trente ans après la révolution néolibérale, il n’y a plus beaucoup de verrous à faire sauter ! Deuxième épisode de notre enquête.
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« Je« Je ne suis pas un politologue, je m’occupe de narration, affirmait aux lendemains des élections régionales en Émilie-Romagne, le mois dernier, l’écrivain Roberto Bui, membre du collectif Wu Ming. Je ne peux donc me prononcer sur la recomposition de la gauche ni sur la crise qui frappe les partis politiques. Ce dont je suis sûr en revanche, c’est que le storytelling renzien est en crise. La rhétorique du nouveau ne suffit plus, les conflits sociaux ont mis en échec son modèle de narration. »
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