Proche et Moyen-Orient

Israël-Hamas : l’Iran maintient la pression sans s’engager directement

Au Liban, le silence du Hezbollah, allié de Téhéran, témoigne de son embarras. Malgré des tirs sur des bases américaines en Syrie et en Irak, la République islamique et ses alliés se gardent pour le moment de frapper trop directement Israël et les Occidentaux.

Jean-Pierre Perrin

À la sortie de la dernière prière du vendredi à Téhéran, le ministre iranien de la culture et de l’orientation islamique, Mohammad Mehdi Esmaili, s’est écrié qu’il allait se rendre à Gaza en bateau ou par avion pour se battre. Évoquant son possible martyre au combat, il assurait aussi aux reporters auxquels il s’adressait : « On va prier pour vous quand on sera dans l’au-delà. On y va avec des amis et des journalistes, vous aussi venez avec nous. »

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