Noyée dans l’actualité abondante des guerres en Syrie, en Irak et au Yémen, et des milliers de frappes aériennes américaines, l’annonce n’a pas fait événement. Le 22 juin, le département américain de la défense (DoD), a confirmé la mort d'Ali Harzi, émir d'une brigade de l'État islamique tué le 15 juin dans une frappe de drone à Mossoul (Irak). La mort d'Ali Harzi et de son frère Tarek, tous deux Tunisiens, avait été annoncée le 17 juin par le journaliste de Radio France internationale David Thomson, qui suit de près l'évolution de l'organisation djihadiste.
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