«Les Libyens peuvent se réjouir de la mort de Kadhafi, mais vous pouvez croire que les gouvernements occidentaux eux aussi respirent mieux», écrit Foreign Policy.
«Les«Les Libyens peuvent se réjouir de la mort de Kadhafi, mais vous pouvez croire que les gouvernements occidentaux eux aussi respirent mieux», écrit Foreign Policy qui raconte ce qui se serait produit s'il avait été pris vivant: «Il aurait presque certainement été remis à la Cour pénale internationale (...). Il aurait presque certainement révélé l’étendue de ses relations intimes avec le président français Nicolas Sarkozy et le Premier ministre britannique Tony Blair, les détails de la collaboration entre son gouvernement et les services de renseignements occidentaux dans la lutte antiterroriste, avec l’Union européenne pour contenir l’immigration depuis le littoral libyen, et l’attribution d’importants contrats à de grosses compagnies pétrolières et de construction», ainsi que «les liens entre le renseignement libyen et la CIA; particulièrement étroits, comme l’ont révélé des documents secrets découverts par Human Rights Watch ».