Syrie, le martyre d’un peuple Analyse

La mort d’al-Baghdadi ne change pas la donne en Syrie

La mort d’al-Baghdadi et l’offensive turque de ces dernières semaines n’ont fait que renforcer les positions des acteurs dominants en Syrie, à savoir Moscou et Ankara, qui sont les seuls à pouvoir mettre un terme au conflit.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Bien que ces dernières semaines se soient montrées particulièrement riches en événements au nord de la Syrie, rien n’a fondamentalement changé dans les rapports de force et l’issue inévitable d’une paix qui reconstituera peu ou prou le pays tel qu’il était avant le déclenchement de la guerre civile, puis internationale en 2011. Le retrait américain, l’invasion turque, le repli kurde et la mort du chef de l’État islamique Abou Bakr al-Baghdadi n’ont fait que consacrer la domination de la Russie et de la Turquie et, indirectement, la reconquête de Bachar al-Assad.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal