En septembre 2018, l’administration Trump a fait savoir par la bouche de John Bolton, le conseiller à la sécurité nationale, que les États-Unis maintiendraient des troupes en Syrie tant que l’Iran y serait présent militairement. Si cette politique s’inscrit dans la stratégie d’endiguement de l’influence iranienne menée par les États-Unis depuis l’élection de Donald Trump, il s’agit également d’une réponse à un événement géopolitique de premier ordre : le retour de l’Iran sur les rives de la Méditerranée.
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