Retraites : dès les premiers débats, un hémicycle au bord de la rupture
Après le refus de la présidente de l’Assemblée nationale d’examiner la motion référendaire portée par des centristes et l’ensemble de la gauche, la première journée d’examen de la réforme des retraites a continué dans une ambiance à couteaux tirés entre la majorité et l’opposition.
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DesDes cris, des pupitres qui claquent, et une présidente de séance qui perd ses nerfs. « On n’est pas dans un amphi, on n’est pas dans une manif, on est dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale ! », s’époumone Yaël Braun-Pivet depuis le perchoir, sous les applaudissements nourris des députés de la majorité présidentielle et du Rassemblement national (RN), et les protestations de la gauche.