Cheffe de file de la majorité présidentielle sur le nucléaire, la nouvelle députée était salariée d’EDF jusqu’à son entrée au Parlement. Quand on a le pouvoir de voter la loi et de représenter la nation, où passe la ligne rouge entre biais professionnel, interférence, conflit d’intérêts et intérêt général ?
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UneUne centrale nucléaire, des visiteurs en veste jaune fluo et casque rouge, un agent qui explique son travail. Et en légende de ces images, un commentaire : « Peu importe la date et l’heure, l’industrie du nucléaire ne s’arrête pas. » Une publicité pour EDF ? Non, le compte Twitter de la députée Maud Bregeon, élue Renaissance dans les Hauts-de-Seine depuis le mois de juin dernier, et salariée du groupe d’électricité jusqu’au début du mois de juillet.