Libertés publiques

Georges Ibrahim Abdallah reste en prison pour l’instant, son avocat dénonce une « mesquinerie juridique »

La cour d’appel de Paris conditionne la libération du militant communiste libanais à l’indemnisation des parties civiles. Sans revenu puisqu’il est en prison depuis plus de quarante ans, Georges Ibrahim Abdallah doit résoudre cette contradiction d’ici au 19 juin.  

Mathieu Dejean

Jean-Louis Chalanset est sorti « abasourdi » de la salle Debray où la cour d’appel de Paris a rendu sa décision sur la demande de libération conditionnelle de son client, Georges Ibrahim Abdallah, ce jeudi 20 février. La justice a décidé d’ajourner son délibéré au 19 juin alors que le parquet national antiterroriste (Pnat) avait fait appel, le 15 novembre dernier, de la décision du tribunal d’application des peines acceptant sa requête.

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