Politique

Palestine : le soutien de la France à la CPI creuse les fractures dans le camp macroniste

La position du Quai d’Orsay, qui s’est dit favorable à ce que la Cour pénale internationale requière des mandats d’arrêt contre Benyamin Nétanyahou et son ministre de la défense, embarrasse la majorité présidentielle, déjà divisée sur le conflit israélo-palestinien depuis le 7 octobre.

Pauline Graulle

Le conflit au Proche-Orient n’a pas fini de créer des divisions dans le camp présidentiel. Mardi 21 mai, c’est l’interview sur France Info de Bernard Guetta, candidat aux européennes en deuxième position sur la liste de Valérie Hayer, qui a remis le feu aux poudres de la majorité. L’ancien chroniqueur de France Inter réagissait ce soir-là à la décision de la Cour pénale internationale (CPI) de requérir un mandat d’arrêt pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité à l’égard de trois dirigeants du Hamas, mais aussi de Benyamin Nétanyahou et de son ministre de la défense.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter