Politique

Gabriel Attal et l’écologie : un vert à moitié vide

Désireux de se distinguer de la droite LR, le chef de file du parti présidentiel tente de s’afficher à la pointe du combat écologique. Une stratégie entravée par deux boulets : son soutien à la loi Duplomb et son bilan de premier ministre.

Ilyes Ramdani

Ce soir de janvier 2024, dans son bureau de Matignon, Gabriel Attal est seul avec Arnaud Rousseau, président de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA), et Arnaud Gaillot, son homologue des Jeunes Agriculteurs (JA). Aucun conseiller à l’horizon. Ni Emmanuel Moulin, directeur de cabinet du premier ministre, ni Marc Fesneau, ministre de l’agriculture, ni Christophe Béchu, ministre de la transition écologique, ne sont présents.

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