« On est là et pas vaincus » : ce que disent les casseroles et les mobilisations festives
Le mouvement social ne cesse de se réinventer. Après les grèves et les manifestations d’ampleur, place aux « casserolades » pour couvrir la voix de l’exécutif, qui n’apprécie guère. Entretien avec Danielle Tartakowsky, historienne spécialiste des mouvements sociaux, qui y voit la profondeur de l’ancrage du mouvement et sa dimension populaire.
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ÀÀ chaque déplacement, son concert de casseroles, de sifflets, de huées. Depuis qu’il a proclamé l’ouverture de « 100 jours d’apaisement », Emmanuel Macron n’est jamais tranquille. Ses ministres non plus. Le mouvement social, toujours aussi festif, endurant et créatif, a trouvé une nouvelle formule, dans l’attente du 1er mai, que l’intersyndicale espère massif.