Alors que l’aide humanitaire est bloquée depuis deux mois, de plus en plus de voix critiquent durement Israël. Mais en l’absence de toute sanction, elles sont absolument inefficaces et, dans Gaza, la faim s’installe.
Les chiffres comptabilisés par la police, boussole officielle pour le recensement des actes antimusulmans, sont parcellaires et éloignés de la réalité du racisme au quotidien. Surtout, ils ne permettent pas d’enclencher des politiques publiques dignes de ce nom.
Depuis le crime de La Grand-Combe, l’exécutif peine à apporter d’autres débouchés politiques que des formules incantatoires sur l’universalisme et la République. Tel un symptôme de l’échec d’Emmanuel Macron et de ses soutiens à penser le racisme et les discriminations.
Le 3 mai, l’Australie renouvelle son Parlement. Le premier ministre sortant, le travailliste Anthony Albanese, cherche à profiter du rejet de son adversaire de droite Peter Dutton, tenté par le trumpisme. Mais son bilan économique est mauvais et la course reste indécise.
Fort de ses influences keynésiennes et marxistes, Michel Aglietta a été précurseur en France dans l’analyse des crises monétaires et financières, marquant, jusqu’à aujourd’hui, toute une génération d’économistes.
La croissance du PIB s’est brusquement stoppée au premier trimestre, avec un recul de 0,3 % en rythme annuel. Le commerce extérieur s’est fortement dégradé, alors même que les importateurs ont reconstitué leurs stocks. Le risque de récession est réel.
Les déboires d’ArcelorMittal en France interviennent alors que le marché mondial est caractérisé par une surproduction centrée sur la Chine. Les prix et les profits reculent, tandis que l’Europe, elle, est plus vulnérable que jamais.
La production et la consommation d’énergie en France, pour les dix ans qui viennent, sont en discussion à l’Assemblée lundi 28 avril. Derrière les effets de manche et les provocations politiciennes, les enjeux sont énormes et interrogent notre modèle de société.
Le philosophe britannique déploie une pensée morbide et élitaire cherchant le chaos pour parvenir à la création d’une « nouvelle espèce » technologiquement formée. Une vision qui inspire plusieurs dirigeants de la Big Tech et certains membres de l’administration Trump.
Candidats à la présidence du parti LR, le ministre de l’intérieur et le député de Haute-Loire investissent le même créneau politique, focalisé sur les questions migratoires et identitaires. Comme l’ultime symbole du rétrécissement idéologique de la droite.