Marine Tondelier, qui s’apprête à être réélue secrétaire nationale des Écologistes, dit vouloir réarmer la doctrine du parti dans les prochains mois. Ses adversaires internes s’inquiètent pourtant d’un congrès « vide de contenu », qui n’a rien tranché sur le fond.
Au lendemain d’un accord avec le FMI présenté comme un succès pour le gouvernement Milei, le peso a chuté de 12 % face au dollar. La preuve que la confiance vis-à-vis du régime libertarien argentin reste très fragile.
Depuis mardi 15 avril, les membres du Parti social-démocrate votent pour approuver le contrat de gouvernement signé avec les chrétiens-démocrates. Alors que la prospérité et la sécurité du pays sont déstabilisées, le texte ne comporte aucune rupture marquante. Pendant ce temps, l’extrême droite est en embuscade.
Conseiller influent des sarkozystes puis des macronistes, le nouveau secrétaire général de l’Élysée a cultivé toute sa carrière les liens public-privé et une vision pro-entreprise de l’économie. Au détriment de la bonne tenue des comptes publics.
Persuadés du succès de leur politique de l’offre, les gouvernements Borne et Attal ont laissé filer les déficits publics sans agir sur les causes du dérapage. Les auditions menées par la commission d’enquête parlementaire dont le rapport vient d’être publié sont accablantes.
Lors d’un discours vide d’annonces, le premier ministre a confirmé, mardi 15 avril, son intention de faire des économies, et vite, sans augmenter les impôts. Pour la planification écologique et la relance des services publics, en revanche, on repassera.
Alors que la situation semblait s’apaiser, la crise entre les deux pays a atteint mardi 15 avril une gravité sans précédent depuis 1962. La France a rappelé son ambassadeur à Alger « pour consultations ». L’escalade pourrait conduire à une rupture aux conséquences incommensurables.
Alors que le RN tente de soutenir le privé catholique tout en ne tapant pas trop fort sur l’école publique, le milliardaire proche de l’extrême droite finance généreusement le développement de l’arrière-ban, le privé hors contrat. Avec pour projet assumé de mener par ce biais une bataille idéologique.
En deux ans, la « fondation insoumise » a formé mille militants et s’est imposée comme une interface entre le monde universitaire et la sphère mélenchoniste. Un témoignage de la contre-offensive intellectuelle de la gauche critique face à la « crise d’hégémonie néolibérale ».
L’incroyable manipulation boursière qui a accompagné la volte-face de Donald Trump sur les droits de douane met en lumière l’émergence d’une nouvelle classe dominante qui ne cache plus ses travers et fait de la corruption, du vol et des arnaques le fondement de sa politique.