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  • Une juste colère sociale

    France

    Au fait, c'est quoi la gauche? Sur Mediapart, c'est le feuilleton de l'été, impulsé par les lecteurs eux-mêmes, en réaction à l'appel au suicide collectif lancé par Bernard-Henri Lévy. Et voici qu'en écho à ces débats participatifs, la réalité apporte sa réponse à la question posée: le milliard des traders de BNP Paribas face au désespoir des salariés de Molex. Réponse qui tient en deux mots: la question sociale. Plaidoyer en défense de la juste colère des salariés victimes de la crise, cette analyse soutient que la gauche, ce devrait être d'abord la défense des intérêts sociaux du monde du travail. Autrement dit des intérêts du groupe social majoritaire dans ce pays.

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  • Ségolène Royal veut rester sur le côté des polémiques socialistes

    Gauche(s)

    Les critiques pleuvent chez les cadres du Parti socialiste pour dénoncer l'autoritarisme de la première secrétaire. Et Martine Aubry n'a probablement rien arrangé en rappelant à l'ordre Manuel Valls. Sa rivale d'hier, Ségolène Royal, affiche ses distances avec les polémiques socialistes. Dans l'ombre médiatique, elle se «réapproprie» Edgar Morin et sa «politique de civilisation». Elle privilégie la réflexion avec Désirs d'avenir plutôt qu'à l'intérieur du PS, dont elle est devenue la représentante à l'Internationale socialiste. Enfin, elle prépare les régionales de 2010 où un succès la relancerait pour la présidentielle de 2012, et une défaite la priverait de toute assise électorale.

  • Un emprunt en 2010, une «vision» encore floue

    France — Analyse

    François Fillon a réuni ses ministres dimanche 28 juin officiellement pour élaborer avec eux la façon de dépenser l'argent du grand emprunt national promis à Versailles par Nicolas Sarkozy. Et de construire, bien sûr, la «France de demain». Au sortir du séminaire, il semble pourtant que seul le volet réduction des dépenses ait été clairement amorcé. Pour ce qui est des projets d'avenir, la «vision» autoproclamée du couple exécutif reste encore dans les limbes, notamment pour ce qui est de l'environnement. Dès lors, l'emprunt de 2010 apparaît bien plus comme un référendum financier que comme un projet construit pour le pays. Analyse.

  • Ça y est ! Martine Aubry a un calendrier de travail pour le PS

    France

    Dans une lettre adressée aux adhérents du PS (lire ici en PDF), la première secrétaire sort enfin de son silence après le revers électoral des européennes, et détaille un calendrier de travail jusqu'à «début 2011». Martine Aubry dit privilégier la préparation du projet à la réflexion sur les primaires, mais elle déclare toutefois que «ce sont les militants qui devront décider de cette question avant l’été 2010». Sont annoncés un «tour de France des fédérations» à l'automne, puis des «états généraux» (sur la culture en novembre 2009), des «assises» (des territoires, en décembre 2009) ou des «conventions» (la première en janvier 2010). En revanche, rien n'est dit des élections régionales.

  • Rachida Dati laisse « une justice saccagée », déplorent les magistrats

    Justice

    Rachida Dati quitte le ministère de la justice. L’heure est au bilan, entre refonte de la carte judiciaire, instauration de peines planchers, création d'un juge des victimes, rénovation du code pénal... Dans une étude dont Mediapart révèle la teneur, l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire) dresse l’inventaire critique de ses trente réformes. La conclusion du président de l’USM, Christophe Régnard, est impitoyable: «Il est évident que le bilan est mauvais.» Le magistrat va même jusqu'à parler d'une «justice saccagée».

  • Europe-Ecologie à égalité avec le PS

    International

    Retrouvez le détail de notre soirée électorale. Chiffres du ministère de l'intérieur: l'UMP arrive en tête avec 27,73%, suivi du PS à 16,66% talonné (à 100.000 voix près) par Europe-Ecologie (16,03%). Le MoDem est crédité de 8,47%, le Front national de 6,40%, le Front de gauche 5,99%, le NPA et LO 6,22% ensemble, et le reste de la droite 6,81%.

  • Club Med : conciliabules secrets entre Alain Minc et Bernard Tapie

    Entreprises — Parti pris

    L'histoire du Club Méditerranée commence à livrer quelques-uns de ses mystères. On pensait qu'elle se résumait à un possible projet d'acquisition par Bernard Tapie. Il s'avère que de nombreux acteurs pèsent dans les coulisses: Alain Minc, notamment, qui est depuis de longues années le conseil rémunéré du PDG de l'entreprise, Henri Giscard d'Estaing; ou encore Claude Guéant, le secrétaire général de l'Elysée qui jouerait en faveur de Bernard Tapie. Du coup, l'annonce par la Caisse des dépôts de son retour prochain au capital du Club Med surprend: pourquoi de l'argent public est-il une nouvelle fois apporté dans une bataille privée, où sont mêlés des proches du chef de l'Etat? Parti pris.

  • Pécresse, incendiaire des universités

    France

    Alors qu'une vingtaine de facs sont toujours, à des degrés divers, mobilisées contre les réformes de l'université, Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, semble jeter de l'huile sur le feu. Le décret sur le statut des enseignants-chercheurs a été promulgué en pleines vacances de Pâques et la discussion sur la réforme de la formation des enseignants du primaire et du secondaire s'est brutalement tendue hier mardi.

  • L'alternance appelée au chevet de l'emploi des jeunes

    France

    Le taux de chômage des moins de 25 ans est l’un des plus élevés en Europe. Nicolas Sarkozy doit annoncer d'ici peu un plan d'urgence. Dès mars, Martin Hirsch, haut commissaire chargé de la jeunesse, a proposé d'aider les entrepreneurs à embaucher des apprentis et les former. Les artisans sont ravis. Mais l'apprentissage n'est pas la solution miracle pour tous. Des jeunes qui auraient le plus besoin d’une intervention publique, les moins qualifiés et les plus touchés, risquent de passer à côté.

  • PS: la mascarade des «angéliques» contre les «sécuritaires»

    France — Parti pris

    Le fiasco des débats organisés dimanche au Zénith et les petits règlements de compte qui ont suivi en disent long sur les tergiversations du parti socialiste sur les questions de sécurité. L'enjeu est pourtant immense. Depuis 1997 et le congrès de Villepinte, le PS hésite, fait ce qu'il ne dit pas ou n'assume pas ses revirements successifs. Ses débats en trompe-l'œil masquent mal sa coupure d'une réalité sociale et sa difficulté à penser ces questions de sécurité. Parti pris.