Après avoir suivi l'extrême droite à Mediapart quelques années, je m'intéresse désormais au logement et à l'urbanisme.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Malgré une campagne atone, le Rassemblement national sauve les meubles en se maintenant dans près de deux cents circonscriptions. S’il ne profite pas de la dynamique de l’élection présidentielle, le parti de Marine Le Pen est quasiment assuré d’avoir enfin un groupe au Palais-Bourbon. Éric Zemmour et ses candidats, eux, sont rayés de la carte.
Le parti d’extrême droite, qui a obtenu un score historique à l’élection présidentielle, est passé largement à côté de cette campagne qu’il avait décrétée, dès le départ, perdue d’avance.
Ce proche de Marine Le Pen se représente en position de grand favori dans la 19e circonscription. Celui qui a joué à fond pendant cinq ans la carte de la proximité s’est pourtant mis à dos une partie des militants locaux.
Mediapart a pu consulter les documents fournis aux candidats du parti d’extrême droite pour les législatives. Ils montrent que le parti fait manifestement peu confiance à ses troupes sur le terrain. Ils s'en prennent à la coalition de gauche Nupes, rebaptisée « extrême gauche pro-islamiste ».
L’ascension de la nouvelle figure de la droite radicale, Giorgia Meloni, est regardée de près par l’extrême droite française, en pleine recomposition. Même si elle a souvent tenté de les faire oublier, les liens avec ses homologues italiens sont anciens et profonds.
À Nice, Menton et Aix-en-Provence, trois figures des identitaires se présentent aux élections législatives sous les couleurs d’Éric Zemmour. Le RN présente face à eux des transfuges de la droite et fustige leur radicalité, alors qu’ils étaient membres du parti quelques mois plus tôt.
La relaxe d’Éric Zemmour pour ses propos sur un prétendu « sauvetage » des juifs français par Pétain a suscité de vives réactions. Tandis que le parquet général s’est pourvu en cassation, les historiens que nous avons interrogés pointent que le principal problème réside dans les motivations de l’arrêt. Explications.
Malgré une progression historique dans les urnes, les élections législatives s’avèrent difficiles pour le Rassemblement national, qui espère néanmoins obtenir un groupe en juin. Éric Zemmour, finalement candidat pour Reconquête !, devrait – au mieux – se satisfaire d’un strapontin.
La crainte de voir le parti de Marine Le Pen accéder au pouvoir est passée. Pour cette fois. L’envie de détourner les yeux sur l’ampleur et les motivations du vote d’extrême droite va nous reprendre. Une fois de plus.
Une partie des catholiques s’émeut de la position ambiguë de la Conférence des évêques qui refuse de prendre position pour le second tour de l’élection présidentielle.
Marine Le Pen a rejoué son débat raté face à Macron lors de son dernier meeting dans le Pas-de-Calais. Dans la salle survoltée, la colère dominait parmi ses sympathisants qui craignent une élection « truquée ».
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Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Dans un podcast en forme de coup de poing, l’artiste Catherine Perrocheau donne à entendre l’immense lassitude de ceux qui au quotidien accompagnent les sans-abris, confrontés à leur impuissance grandissante face à l’abandon des pouvoirs publics.
La Manif pour tous a refusé d’accueillir Mediapart pour l’université de rentrée de «Marchons enfants» qui a lieu ce 21 septembre à Port-Marly (78). L’événement était officiellement «ouvert à tous». Un boycott qui en dit long sur ce qu’est ce mouvement.
L’hebdomadaire qui publiait ce dimanche une tribune appelant le président à se saisir de la question des violences faites aux femmes, laissait paraître à quelques pages d’intervalle un édifiant article, monument de sexisme ordinaire.
Une « enquête à charge », des « accusations ni étayées, ni documentées », pire « un tas de ragots »…Jean-Loup Salzmann qui a donné une interview à l’Etudiant suite à la parution de notre enquête « Le vice-ministre des universités entre en zone de turbulence» n’a visiblement pas apprécié que Mediapart se penche sur le fonctionnement de son université.
Dans la crise du système scolaire, on oublie complètement de se pencher sur le manque de culture financière des jeunes enfants du primaire. Pas un mot dans les programmes de CP sur ce qu'est une action, nulle définition des taux d'emprunts… Rien.