Après avoir suivi l'extrême droite à Mediapart quelques années, je m'intéresse désormais au logement et à l'urbanisme.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Vendredi 7 et samedi 8 janvier s’est tenu à la Sorbonne un colloque éloigné des canons du genre, mais patronné par d’illustres visiteurs, dont le ministre de l’éducation nationale, qui a par ailleurs aidé à financer l’événement. « Épidémie de transgenres », « soleil noir des minorités » : les formules ont fleuri pour qualifier la manière dont le décolonialisme et les études intersectionnelles martyriseraient l’université française.
Comme chaque année, Mediapart diffuse les Rencontres d’Averroès, qui contribuent à penser la Méditerranée des deux rives. La troisième table ronde de cette édition était consacrée aux débats autour de la vérité, à l’heure où les post-vérités semblent prospérer.
Comme chaque année, Mediapart diffuse les Rencontres d’Averroès, qui contribuent à penser la Méditerranée des deux rives. Au programme de la deuxième table ronde, la place de l’historien, du témoignage, dans un monde qui a perdu foi en l’Histoire.
Comme chaque année, Mediapart diffuse les Rencontres d’Averroès, qui contribuent à penser la Méditerranée des deux rives. L’édition 2021, qui a porté sur les régimes du croire, s’est tenue mi-novembre au Théâtre de La Criée, à Marseille. Première table ronde.
La candidate du Rassemblement national a su conquérir depuis dix ans un électorat féminin traditionnellement rétif au vote d’extrême droite. Face à la candidature de Zemmour, la question du genre sera déterminante dans la prochaine élection présidentielle.
Dans un livre récemment paru, des auteurs comme Beigbeder, Bruckner, Tesson, Giesbert ou Enthoven racontent leur expérience auprès des chanoines traditionalistes de l’abbaye de Lagrasse. Une façon de glorifier, avec des accents identitaires très marqués, un Occident qui relèverait enfin la tête par une renaissance catholique.
Comment les militants « antifas » sont-ils devenus des fascistes dans certains médias ? Les antiracistes, les nouveaux racistes ? Retour sur l’efficace travail de sape lexical mené par l’extrême droite.
L’ancien éditorialiste de CNews et du Figaro a officialisé, mardi, sa candidature à l’élection présidentielle dans un clip reprenant toutes ses obsessions identitaires. Sur le terrain, sa campagne est devenue particulièrement compliquée.
Marine Le Pen, héritière d’un parti fondé par des anti-gaullistes fervents, a rendu mardi 9 novembre, un hommage au général de Gaulle à Bayeux. Éric Zemmour prétend, lui, concilier, au mépris de l’histoire, l’héritage de Pétain et de De Gaulle.
Mediapart s’est penché sur les comités locaux d’Éric Zemmour. Selon les documents internes que nous avons obtenus, l’Action française, la Ligue du Midi ou les anciens de Génération identitaire, anti-républicains et adeptes de la violence contre l’État, forment le cœur des équipes de pré-campagne.
Déçus de Marine Le Pen, éloignés du Rassemblement national, partisans de « l’union des droites », figures néonazies, identitaires ou royalistes : la fachosphère est désormais en ordre de marche derrière la candidature d’Éric Zemmour, qui les accueille à bras ouverts, assumant de « se foutre de la diabolisation ».
Un document confidentiel que Mediapart s’est procuré dévoile une équipe de campagne de onze personnes au service du futur candidat : ex-collaborateurs LR, ancien cadre du mouvement de Bruno Mégret, militants de La Manif pour Tous, attachée de presse des éditions Ring, journaliste à RT France, mais aussi un banquier ou des spécialistes d’intelligence économique.
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Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Dans un podcast en forme de coup de poing, l’artiste Catherine Perrocheau donne à entendre l’immense lassitude de ceux qui au quotidien accompagnent les sans-abris, confrontés à leur impuissance grandissante face à l’abandon des pouvoirs publics.
La Manif pour tous a refusé d’accueillir Mediapart pour l’université de rentrée de «Marchons enfants» qui a lieu ce 21 septembre à Port-Marly (78). L’événement était officiellement «ouvert à tous». Un boycott qui en dit long sur ce qu’est ce mouvement.
L’hebdomadaire qui publiait ce dimanche une tribune appelant le président à se saisir de la question des violences faites aux femmes, laissait paraître à quelques pages d’intervalle un édifiant article, monument de sexisme ordinaire.
Une « enquête à charge », des « accusations ni étayées, ni documentées », pire « un tas de ragots »…Jean-Loup Salzmann qui a donné une interview à l’Etudiant suite à la parution de notre enquête « Le vice-ministre des universités entre en zone de turbulence» n’a visiblement pas apprécié que Mediapart se penche sur le fonctionnement de son université.
Dans la crise du système scolaire, on oublie complètement de se pencher sur le manque de culture financière des jeunes enfants du primaire. Pas un mot dans les programmes de CP sur ce qu'est une action, nulle définition des taux d'emprunts… Rien.