Récoltant près de 1,5 million de signatures, la pétition a réussi à dépasser les sphères militantes et écologistes et dévoile la montée en puissance chez les Français des préoccupations en matière de santé environnementale.
La députée insoumise Gabrielle Cathala fait partie de l’équipage qui part pour Gaza, vendredi 18 juillet. Elle explique le but de cette nouvelle expédition, alors que l’Union européenne vient de refuser de rompre son accord d’association avec Israël.
La cour d’appel de Paris a accepté jeudi 17 juillet la demande de libération du communiste libanais. Privé de liberté depuis quatre décennies, le militant âgé de 74 ans avait déclaré que c’était sa dernière tentative. Il sera expulsé vers son pays le 25 juillet.
Richard Seymour a récemment publié « Disaster Nationalism », un essai dans lequel il explique la multiplication des violences d’extrême droite, et comment ses figures les instrumentalisent à leur profit. Le Britannique revient sur les émeutes qui ont lieu en Espagne, et qui en rappellent d’autres.
Après l’annonce de ses orientations budgétaires pour désendetter la France, le premier ministre est sur un chemin de crête. Pour des raisons évidemment différentes, PS comme Rassemblement national, groupes charnières pour faire tomber le gouvernement, l’en menacent ouvertement : « Soit il revoit sa copie, soit il est censuré. »
Pour la première fois, une communiste issue des classes populaires peut devenir présidente du Chili, après sa victoire à la primaire de la gauche pour la présidentielle de novembre. Mais après le mandat de Gabriel Boric, qui a déçu l’électorat de gauche, barrer la route à l’extrême droite s’avère un immense défi.
À l’invitation de Lucie Castets, des leaders de gauche se sont engagés à avoir une candidature commune en 2027, selon des modalités qui seront arrêtées en fin d’année. L’initiative, présentée comme « historique », est plombée par l’absence des Insoumis, du PCF et de Place publique, ainsi que par le manque de dynamique citoyenne visible.
Le candidat des Écologistes aux municipales de l’an prochain réagit à la désignation d’Emmanuel Grégoire comme candidat socialiste. Face au risque que la capitale bascule à droite, il plaide pour l’union de toute la gauche dès le premier tour. Il explique pourquoi et comment.
Emmanuel Grégoire a été désigné candidat du PS à Paris. Mais après deux mandats d’Anne Hidalgo, les équilibres politiques ont changé et le leadership socialiste n’est plus évident. L’écologiste David Belliard propose de faire l’union de toute la gauche dès le premier tour face à la droite radicalisée de Rachida Dati.
Les cadres du mouvement jugent illusoire l’idée qu’en changeant de stratégie sur la forme, leur disqualification médiatico-politique cesserait. Face à l’intensification des attaques et des accusations d’antisémitisme, ils s’adaptent pour ne pas donner d’« accroches ».
Le parlementaire écologiste devait se rendre sur la côte Est dans le cadre de ses fonctions pour élaborer le collectif « La Digue », qui se veut une coalition progressiste internationale. L’administration Trump en a décidé autrement, malgré le soutien du ministre des affaires étrangères.
Alors que les inquiétudes montent sur la situation au Proche-Orient, le débat s’est envenimé au Palais-Bourbon. Le ministre des affaires étrangères a reproché à La France insoumise, qui réclame le respect du droit international, de se faire « l’avocate du régime iranien ».