Nejma Brahim
Je garde des liens très forts avec l'Algérie, où je me rends régulièrement, et j'accorde un intérêt particulier au phénomène de harraga (les migrations clandestines par la mer depuis le Maghreb).
Il en va de même avec la ville de Montpellier, où j'ai passé 15 années et où je me suis spécialisée, après un cursus en Science politique à l'Université de Droit, en journalisme. En parallèle de mes études, j'ai longtemps été bénévole au sein de la web TV Kaïna TV, implantée dans le quartier populaire de la Paillade. Pigiste durant trois ans, j'ai principalement traité des sujets de société (quartiers populaires, égalité femmes-hommes, migrations, discriminations, y compris à l'international).
Depuis 2020, je suis journaliste au pôle International de Mediapart et me concentre pleinement sur les migrations.
Pour m'écrire : nejma.brahim@mediapart.fr
Twitter : https://twitter.com/NejmaBrahim
Consultez ici ma déclaration d'intérêts.
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« On verra bien » : à la frontière polonaise, des réfugiées optent pour le retour en Ukraine
Après plus d'un mois en République tchèque, Oksana prend le train depuis Przemyśl pour rentrer chez elle à Odessa. © Nejma Brahim / Mediapart
Depuis près d’un mois, des Ukrainiennes ayant trouvé refuge en Pologne choisissent de rentrer dans leur pays. Si chacune a ses raisons, toutes constatent que si le conflit s’installe dans la durée, leur ville d’origine semble désormais « plus sûre ».
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En Pologne, les exilés non ukrainiens se sentent abandonnés
Après six mois passés en centre de rétention, Waleed retrouve Ewa, une bénévole qui l'avait aidé près de la frontière polono-bélarusse. © Nejma Brahim / Mediapart
Irakiens, Syriens ou Yéménites, ils ont traversé la frontière entre le Bélarus et la Pologne fin 2021, en y frôlant parfois la mort. Placés en rétention, relâchés, certains se retrouvent aujourd'hui livrés à eux-mêmes, à l’heure où des millions de réfugiés ukrainiens sont accueillis en Pologne.
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Dans les petites villes polonaises, la société civile au chevet des réfugiés ukrainiens
Près de Wodzisław Śląski, Malgosia héberge une famille depuis le 2 mars. © Photo Nejma Brahim / Mediapart
Depuis le début de la guerre en Ukraine, près de trois millions de personnes auraient trouvé refuge en Pologne. Loin des grandes villes, rien ne pourrait se faire sans la volonté des hébergeurs solidaires, des bénévoles et des associations, qui pallient les manques de l’État.
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L’accueil toujours « décousu » des réfugiés ukrainiens en France
Des réfugiées ukrainiennes arrivant en gare de Paris-Est, le 11 mars 2022. © Laure Boyer / Hans Lucas via AFP
Plus de 30 000 personnes auraient trouvé refuge en France depuis le début de la guerre d’invasion russe en Ukraine, en février. Si le gouvernement a assuré que tous les moyens seraient mis en œuvre pour les accueillir, la désorganisation persiste, regrettent les acteurs de terrain. -
Migrations : « Les traversées depuis le Liban risquent de s’intensifier »
Des proches de victimes du naufrage à l'entrée de la morgue de l'hôpital de Tripoli, au Liban, le 24 avril. © Ibrahim Chalhoub / AFP
Le chercheur et économiste libanais Nizar Hariri revient sur le naufrage du 23 avril, au large de Qalamoun, au Liban, qui a fait six morts et une trentaine de disparus. Depuis 2019 et la crise que connaît le Liban, les tentatives de traversée se multiplient et ne concernent plus seulement les réfugiés mais aussi les Libanais.
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Ces migrants syriens qui tentent de rejoindre l’Europe depuis l’Algérie
Samer, un Syrien âgé de 26 ans, observe la mer à Oran, en Algérie. © Nejma Brahim / Mediapart
Depuis le début de la guerre en Syrie, en 2011, plusieurs milliers d’exilés se sont installés en Algérie pour y trouver refuge. Mais depuis quelques années, certains tentent la traversée depuis les côtes algériennes pour rejoindre l’Europe, parfois au péril de leur vie.
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À Montpellier, des habitants de La Paillade tentés de voter Le Pen pour « crever l’abcès »
Le quartier de La Paillade, à Montpellier, enregistre dans certains bureaux de vote des taux d'abstention record. © Nejma Brahim / Mediapart
Dans ce quartier populaire de Montpellier, les habitants perçoivent le second tour de l’élection présidentielle comme un fardeau, estimant avoir le choix entre la « peste et le choléra ». Certains, dans une logique de « vote sanction », vont jusqu’à penser faire barrage à Emmanuel Macron plutôt qu’à Marine Le Pen.
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Une France sans étrangers, ça donnerait quoi ?
Dans les locaux occupés à Paris par le collectif « La chapelle debout » depuis le 18 avril 2022, dans le but de réclamer des droits pour tous les sans-papiers. © Photo Claire Serie / Hans Lucas via AFP
À l’heure où Marine Le Pen prône une politique ouvertement discriminatoire à l’égard des étrangers, Mediapart contextualise les chiffres de l’immigration, détournés par l’extrême droite pour mieux faire passer une idéologie raciste.
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« Des droits pour tous » : une centaine d’exilés occupe un bâtiment au cœur de Paris
Des exilés arrivant au 17 rue Saulnier, à Paris, pour occuper un bâtiment vide, le 18 avril 2022. © Nejma Brahim / Mediapart
Le collectif La Chapelle debout, qui vient en aide aux exilés à Paris, a décidé lundi d’occuper un bâtiment vide de la capitale pour héberger une centaine de personnes à la rue. À travers cette action, programmée dans l’entre-deux-tours, l’organisation veut créer un « rapport de force » avec les autorités.
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Le Royaume-Uni prêt à envoyer ses demandeurs d’asile au Rwanda
Des exilés débarquant au port de Dover, en Angleterre, après avoir traversé la Manche le 14 avril 2022. © Glyn Kirk / AFP
Le Royaume-Uni a validé, jeudi 14 avril, un plan pour « externaliser » les demandes d’asile des exilés arrivant par la mer ou par camion, en les plaçant dans des centres situés au Rwanda. Des dizaines de milliers de personnes pourraient être concernées dans les années à venir.
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