Nejma Brahim
Ses Derniers articles
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De plus en plus de Tchétchènes reconnus comme réfugiés se voient retirer leur statut
Décision de fin de protection de l'OFPRA pour un réfugié d'origine tchétchène. © NB.
Mediapart a pu consulter les dossiers de plusieurs réfugiés issus de la communauté tchétchène concernés par une procédure de retrait d’asile, qui se fait le plus souvent sur la base de « notes blanches » transmises par les services de renseignement.
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Eva Ottavy: «La route des Canaries se réactive parce que d’autres ont été fermées»
Un navire des gardes-côtes espagnols avec des migrants à bord arrive au port d'Arguineguin, après leur sauvetage au large des îles Canaries le 8 septembre 2020. © DESIREE MARTIN / AFP
Alors que 140 migrants y ont perdu la vie la semaine dernière, Eva Ottavy, responsable nationale des Solidarités internationales à la Cimade, explique comment et pourquoi la route migratoire passant du Sénégal par les Canaries semble s’être réactivée. Entretien.
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Stigmatisée, la diaspora tchétchène se dit inquiète pour l’avenir
Environ 70 Tchétchènes étaient rassemblés lundi 19 octobre place Masséna à Nice pour rendre hommage à Samuel Paty. © KE
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine ayant conduit à l’assassinat infâme du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, vendredi 16 octobre, la diaspora tchétchène de France se sent montrée du doigt. Elle est pourtant, comme le reste de la France, sous le choc.
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Les projets délirants du Royaume-Uni pour tenir à distance les migrants
La plage de Tardinghen voit chaque jour des migrants tenter la traversée de la Manche pour rejoindre le Royaume-Uni. © SAMEER AL-DOUMY / AFP
Fin septembre, le Financial Times et le Guardian révélaient les projets « fous » du gouvernement britannique pour empêcher les migrants et demandeurs d’asile de pénétrer sur son territoire, en passant par des vagues artificielles ou des centres de traitement des demandes d’asile « flottants ».
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Marche nationale des sans-papiers: «La visibilité gagnée grâce à ce mouvement est déjà une petite victoire»
Rue La Fayette à Paris, lors de la marche nationale des sans-papiers le 17 octobre 2020. © NB
Les sans-papiers et leurs soutiens ont achevé leur parcours à Paris hier, samedi 17 octobre, après vingt-sept jours de marche à travers la France pour réclamer davantage de droits. Epuisés mais déterminés, ils caressent l’espoir qu’Emmanuel Macron entende leurs revendications.
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«Faux» mineurs étrangers: «Ne pas faire de quelques cas une généralité»
Manifestation contre les tests osseux pour les mineurs non accompagnés à Toulouse. © ALAIN PITTON / NURPHOTO / NURPHOTO VIA AFP
En visite au Maroc ce vendredi, le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, compte aborder la question des mineurs non accompagnés avec son homologue marocain. Des discussions faisant suite à l’attaque perpétrée par un « faux » mineur pakistanais devant les anciens locaux de Charlie Hebdo.
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A Paris, une colocation entre réfugiés et Français réinvente la solidarité
Abbas, réfugié afghan et pizzaïolo. © NB
Depuis trois semaines, douze réfugiés statutaires et autant de citoyens français cohabitent dans un immeuble de la Régie immobilière de la ville de Paris, dans le Ier arrondissement. Inaugurée lundi 5 octobre, la « colocation solidaire » doit favoriser la mixité sociale et l’intégration des personnes exilées.
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A Aubervilliers, des migrants «chassés» avec violence par la police
La semaine dernière, 150 migrants ont été repoussés loin de Paris par la police alors qu’ils cherchaient un lieu où dormir près de la porte d’Aubervilliers. Une vidéo montre que les forces de l’ordre ont fait preuve de violence, y compris envers des femmes et des mineurs.
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A Calais, des exilés expulsés d’Angleterre retentent la traversée
L'entrée de la "hospital jungle", à Calais. © Nejma Brahim
Depuis cet été, le Royaume-Uni durcit le ton avec la France sur la question migratoire et renforce les mesures d’expulsion des demandeurs d’asile relevant de la procédure Dublin. De retour à Calais, ces derniers sont prêts à retenter leur chance.
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Les étrangers toujours plus nombreux enfermés en rétention
Le centre de rétention de Mesnil-Amelot, en banlieue parisienne, le 16 septembre 2020. © GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP
Dans un rapport dévoilé mardi, cinq associations d’aide aux étrangers dénoncent les effets de la loi « asile et immigration » adoptée en 2018, levier de la politique d'expulsion du gouvernement. Les éloignements ont augmenté de 9% l'an dernier.
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