Nejma Brahim
Je garde des liens très forts avec l'Algérie, où je me rends régulièrement, et j'accorde un intérêt particulier au phénomène de harraga (les migrations clandestines par la mer depuis le Maghreb).
Il en va de même avec la ville de Montpellier, où j'ai passé 15 années et où je me suis spécialisée, après un cursus en Science politique à l'Université de Droit, en journalisme. En parallèle de mes études, j'ai longtemps été bénévole au sein de la web TV Kaïna TV, implantée dans le quartier populaire de la Paillade. Pigiste durant trois ans, j'ai principalement traité des sujets de société (quartiers populaires, égalité femmes-hommes, migrations, discriminations, y compris à l'international).
Depuis 2020, je suis journaliste au pôle International de Mediapart et me concentre pleinement sur les migrations.
Pour m'écrire : nejma.brahim@mediapart.fr
Twitter : https://twitter.com/NejmaBrahim
Consultez ici ma déclaration d'intérêts.
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La politique hypocrite de la France sur l’octroi de visas aux Maghrébins
© Photo Fethi Belaid / AFP
Sous couvert de lutte contre l’immigration clandestine, la France durcit brutalement l’octroi de visas aux habitants du Maghreb. En campagne présidentielle, Macron confirme qu’il entend lui aussi imposer l’immigration comme le problème numéro un en France.
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Italie : l’ex-maire de Riace condamné à 13 ans de prison
© Photo Christian Minelli / NurPhoto via AFP
Mimmo Lucano, ancien maire de Riace (Italie), a été condamné jeudi 30 septembre à 13 ans et 2 mois de prison pour association de malfaiteurs visant à aider et encourager l’immigration irrégulière, fraudes, détournement de biens publics et abus de pouvoir. Il avait redonné vie à son village de Calabre grâce à l’accueil des migrants.
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Mimmo Lucano : « Il faut défendre cet “autre monde possible” face à la violence du populisme »
Dans son livre « Grâce à eux », Mimmo Lucano, ancien maire de Riace (Italie) connu pour ses positions en faveur de l’accueil des migrants, raconte comment son village dépeuplé de Calabre a repris vie avec l’arrivée des exilés, dans un modèle inclusif et vertueux. Et comment il a dû se battre pour le maintenir.
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Bidonvilles expulsés à Montpellier : la politique « bulldozer » du préfet détruit tout sur son passage
Des enfants au bidonville de Nina Simone, à Montpellier. © NB.
Au cours des derniers mois, à Montpellier, plusieurs bidonvilles ont été touchés par des incendies, puis évacués sur décision du préfet de l’Hérault, sans préavis, réduisant à néant le travail social mené par les associations auprès des populations vivant sur place. Après la dernière évacuation, jugée « illégale » par les associations, le préfet a pointé du doigt les habitants, déclarant qu’ils ne vivaient « que de rapines et d’agressions ».
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Le Royaume-Uni s’entraînerait déjà à refouler les migrants en mer
© SAMEER AL-DOUMY / AFP
Depuis plusieurs semaines, les exilés sont plus nombreux à tenter la traversée de la Manche depuis les environs de Calais. En réponse, le gouvernement britannique a annoncé vouloir refouler les embarcations s’approchant du sud de l’Angleterre.
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De retour en Syrie, les réfugié·e·s subissent viols et torture
© Photo de Mikhail Voskresenskiy / Spoutnik via AFP
Qualifié·e·s de « terroristes » ou d’« espion·ne·s » par les services de renseignement syriens, les réfugié·e·s syrien·ne·s subissent torture, viols, détention arbitraire et disparitions forcées à leur retour dans leur pays. C’est ce que révèle Amnesty International, qui a documenté plus de 60 cas et publié un rapport mardi 7 septembre.
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Aide aux migrants : les « 7 de Briançon » relaxés en appel
Des soutiens aux « 7 de Briançon » rassemblés devant le Palais de justice de Grenoble, jeudi 27 mai. © NB
Poursuivis au motif qu'ils auraient facilité l’entrée en France de migrants lors d’une manifestation à la frontière, ces militants « solidaires » avaient été condamnés en 2018. Devant la cour d’appel de Grenoble, l'un deux écope tout de même de quatre mois de prison avec sursis pour « rébellion ».
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Des associations dénoncent un « traquenard » dans la prise en charge d’exilés
Plusieurs personnes venues témoigner, au parc André-Citroën à Paris, de l'issue de la mise à l'abri du 4 septembre. © NB
Déplacements en régions non préparés, placements en rétention, mesures d’éloignement… Selon associations et exilés, la mise à l’abri ayant suivi une action organisée le 1er septembre à Paris aurait mal tourné pour une partie des personnes censées être prises en charge.
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Soutien au peuple afghan : « On est là pour porter la voix des femmes »
Paris, le 5 septembre. © NB
Quelque 300 personnes se sont réunies dimanche à Paris, à l’appel d’une trentaine organisations, pour marquer leur soutien au peuple afghan et aux femmes, particulièrement vulnérables sous le régime taliban.
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Cour nationale du droit d’asile : des juges dénoncent des « pressions »
© Photo Benjamin Mengelle / Hans Lucas via AFP
Plusieurs juges siégeant à la Cour nationale du droit d’asile affirment avoir subi des « pressions » pour modifier le sens d’un délibéré. « Il y a plein de fois où on sent qu’on n’est pas libres de décider nous-mêmes. » Des accusations inédites et inquiétantes, selon certains, à l’heure où le rôle de la juridiction pourrait être déterminant pour les Afghans en quête de protection en France.
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