Né en 1971. Après de nombreuses années passées aux États-Unis, à Los Angeles, Washington et New York, ainsi que de multiples reportages aux quatre coins de la planète, je suis rentré à Paris en 2008 pour couvrir l'actualité internationale à Mediapart.
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Alors que la coalition militaire emmenée par l’Arabie saoudite menace de détruire le port par lequel transite l’aide humanitaire, contrôlé par les rebelles houthistes, de nombreuses ONG craignent pour le sort de millions de Yéménites.
Le mouvement islamique qui dirige Gaza a publié un document politique infléchissant sa position sur les frontières de la Palestine et sa relation à l'Égypte. Au même moment, le président palestinien Mahmoud Abbas s'apprête à rencontrer Donald Trump. Véritable changement ou adaptation stratégique ?
Fin de parcours auprès d’un électorat de gauche désabusé. L’accumulation des pouvoirs, le clientélisme et la corruption de quelques-uns déconsidèrent l’ensemble de élus, quand les citoyens, eux, doivent se débattre avec des pouvoirs publics de plus en plus distants.
La désindustrialisation, puis la mondialisation, ont laissé sur le carreau des centaines de milliers de Français à qui l'on n'offre désormais que des “Mac jobs”. La gauche au pouvoir a participé de ces transformations, sans rien proposer comme alternative.
Au travers de trois villes françaises, Créteil, Givors et Martigues, nous sommes partis à la rencontre d’un électorat d’ouvriers, d’employés, de petits patrons d’industrie et de chômeurs, autrefois acquis à la gauche et qui, aujourd’hui, oscille entre l’abstention, la tentation des extrêmes et un rejet atterré de la politique.
Le président américain a promis de redonner du pouvoir d’achat aux classes moyennes et populaires, et promis de placer « l’Amérique d’abord ». Les syndicats achètent-ils ce discours ? Réponse (négative) avec William Spriggs, l’économiste en chef de la grande confédération syndicale des États-Unis, l’AFL-CIO.
Le test du nouveau dirigeant est désormais celui de la gouvernance, qui s'annonce très difficile en dépit de la frénésie entretenue durant ces premières semaines. Et surtout : quels seront les dégâts irréparables qu’il causera avant de quitter la Maison Blanche ?
Le nouveau président provoque déjà des vagues dans le domaine policé des relations internationales : crise avec le Mexique, démissions en masse de diplomates... L’Europe sera-t-elle sa prochaine cible ?
Des millions de personnes ont manifesté dans le monde pour rejeter le nouveau président des États-Unis. Alors qu'il s'agissait au départ de défendre le droit des femmes, le mouvement est devenu une coalition de toutes les oppositions à Trump. Combien de temps durera cet élan ?
Le discours inaugural du nouveau président était nationaliste, autoritaire et déconnecté de la réalité, s'inspirant du slogan isolationniste des années 1930 : « L'Amérique d'abord. » Trump entend s'appuyer sur sa base électorale blanche et populiste, mais sa première décision est en faveur des banques.
Donald Trump devient officiellement le 45e président des États-Unis dans une ambiance d'inquiétude. Les deux mois et demi de transition et l'annonce de la nouvelle équipe n'ont pas rassuré. Tour d'horizon des figures clés qui vont faire la politique américaine des prochaines années.
Un étrange rapport, vieux de quelques mois, raconte que Moscou « tiendrait » le futur président des États-Unis en raison de frasques sexuelles enregistrées. Les agences de renseignements américaines, qui ont briefé Obama, Trump et des élus sur ce mémo, veulent-elles embarrasser le milliardaire ?
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Pourquoi écrire un roman lorsqu’on est journaliste? Au moment où sort mon premier roman, « Requiem pour une République » (Gallimard - Série Noire), ma réponse à la question du choix de la fiction est des plus simples: la liberté d’écriture.
Dans une rentrée littéraire française foisonnante, la parution du Tome 4 de la saga Millénium, intitulé « Ce qui ne me tue pas », ressemble plutôt à la sortie d’un film de super-héros hollywoodien. Un Avengers 4, un reboot en même temps qu’un sequel, pour utiliser les termes en vogue dans l’industrie du cinéma.
La campagne présidentielle d’Hillary Clinton est à peine lancée (18 mois en avance du scrutin tout de même) que tout ce qu’il y avait à craindre d’une telle candidature est déjà là : conflits d’intérêts, gros sous et amis embarrassants.
Le cinéaste Michel Gondry tourne depuis plusieurs semaines dans Paris et en banlieue sa version cinématographique de L'Ecume des Jours de Boris Vian. Le 17 juillet, il a installé ses décors, et notamment ses étranges véhicules, dans les rues du Haut Belleville.