Formée à l'ESJ Lille, d'abord passée par la radio (RFI, Radio France), puis par Mediapart, puis par la télévision (Cash Investigation, Le Supplément, Quotidien).
De retour à Mediapart pour développer les enquêtes vidéos et notre émission d'actualité À l'air libre.
Documentaires : On achève bien les gros (Arte, co-réalisé avec Gabrielle Deydier et Laurent Folléa), Media Crash (Mediapart x Premières Lignes, co-réalisé avec Luc Hermann).
Pour me joindre : valentine.oberti@mediapart.fr
Ma déclaration d'intérêts est à consulter ici et là.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Après les révélations de Mediapart sur les fastueux dîners organisés par le président de la Région Auvergne-Rhône-Alpes aux frais du contribuable, des élus d’opposition ont fait un signalement au procureur de la République. Un syndicat de journalistes s’émeut aussi de la participation à l’événement du directeur de leur groupe de presse.
Le président LR d’Auvergne-Rhône-Alpes réunit le gotha régional dans des lieux de prestige afin de « créer des synergies ». Le dernier « dîner des sommets » s’est tenu le 23 juin dans un château. Il a coûté pas moins de 100 000 euros d’argent public, selon les informations de Mediapart. Soit plus de 1 100 euros par convive, aux frais du contribuable.
Vendredi 3 juin, en pleine demi-finale hommes de Roland-Garros, une militante du climat a fait irruption sur le court. Elle s'appelle Alizée et elle a expliqué les raisons de son action à Mediapart.
Chaque week-end, retrouvez un extrait du film « Media Crash », en salles depuis le 16 février. Aujourd’hui, nous racontons comment le ministère de la défense a fait pression sur la rédaction de l’émission « Quotidien » afin qu’elle ne révèle pas un document secret-défense portant sur les ventes d’armes de la France. La séquence n’a jamais été diffusée.
Chaque week-end, retrouvez un extrait du film « Media Crash », en salles depuis le 16 février. Aujourd’hui, nous racontons comment Éric Zemmour a profité de l’exposition que lui a offerte Cyril Hanouna sur C8 pour faire valoir ses idées sans contradiction aucune.
Au vingt-sixième jour de l’offensive russe en Ukraine, des bombardements ont frappé un centre commercial de la capitale et une première frappe a touché le port d’Odessa. La Russie semble passer à son « plan B » : une guerre de sièges d’artillerie.
Pendant plusieurs mois, Mediapart a enquêté et recueilli le témoignage de huit femmes qui accusent le candidat d’extrême droite de comportements inappropriés et d’agressions sexuelles pour des faits présumés allant de 1999 à 2019. Certaines s’expriment face caméra pour la première fois.
Pendant plusieurs mois, Mediapart a enquêté et recueilli le témoignage de huit femmes qui accusent le candidat d’extrême droite à la présidentielle. Certaines s’expriment face caméra pour la première fois. Propos à connotation sexuelle, agressions sexuelles : les faits évoqués s’étalent de 1999 à 2019. Article en accès libre.
Censures, pressions, autocensures, offensives idéologiques : ce film d’enquête révèle comment l’information et le citoyen sortent perdants d’un système médiatique qui voit neuf milliardaires posséder 90 % des médias privés. À voir en avant-première mardi 15 février.
Des écoutes judiciaires montrent que Vincent Bolloré a été renseigné à l’avance par le communicant Ramzi Khiroun sur le contenu d’une enquête de France 2 en 2016. Au même moment, le milliardaire était secrètement conseillé par Nicolas Sarkozy pour sa communication de crise.
Quel rôle joue le show de Cyril Hanouna dans l’ascension des idées d’extrême droite ? La chercheuse Claire Sécail a analysé toutes les émissions depuis la rentrée : avec 40,3 % de temps d’antenne cumulé, Éric Zemmour est loin devant les autres candidats à la présidentielle.
Cela devait être un « rassemblement citoyen en soutien aux forces de l’ordre », dans un contexte où les policiers sont la cible d’attentats, récemment à Rambouillet, et de violences, comme le policier Éric Masson tué à Avignon. Mais la manifestation de cet après-midi devant l’Assemblée nationale a été une démonstration de force politique. « À l’air libre » y était.